Vous êtes un auteur ou une autrice, et vous venez enfin de terminer l’écriture de votre manuscrit ? Tout d’abord, un grand bravo ! Il ne vous reste « plus » qu’à le faire éditer. Or, comme l’attestent de nombreux témoignages trouvés sur Internet, la publication d’un livre (roman, nouvelle, biographie…) est la dernière étape d’un parcours long et complexe. C’est notamment pour cela que les sites web des maisons d’édition fourmillent de conseils à l’intention des auteurs et autrices. Et parmi ces conseils figure l’importance de soigner la forme des textes – et bien sûr le fond, cela va sans dire ! Pourtant, il semble que cette préconisation soit fréquemment sous-estimée, alors qu’au contraire il faudrait en tenir compte pour espérer voir son manuscrit édité. C’est la raison pour laquelle cet article vise à répondre à une question que vous vous posez certainement : faut-il (faire) corriger son roman avant sa présentation aux maisons d’édition ?

L’importance de la première impression de l’éditeur

Coco Chanel a dit : « Vous n’aurez pas deux fois l’occasion de faire une bonne première impression. » Et d’après les retours glanés sur la toile, le domaine de l’édition peut se montrer impitoyable en la matière. C’est pourquoi la première impression laissée par votre roman scelle le plus souvent le sort de ce dernier. Les éditeurs reçoivent plusieurs milliers d’ouvrages par mois, et seule une poignée d’entre eux seront publiés.

Les critères de sélection peuvent être spécifiques à chaque éditeur. Cependant, des points communs existent entre les maisons d’édition : si la présentation (une mise en page minimale et aérée), l’originalité du récit, le respect du genre littéraire privilégié par ledit éditeur et la qualité narrative sont importants, la rigueur linguistique l’est également. Par conséquent, un texte truffé de fautes et difficile à lire à cause d’une syntaxe négligée, voire d’incohérences dans le récit, sera très probablement écarté, même si son histoire est passionnante. Cela est en effet généralement perçu comme un manque de professionnalisme et de respect envers le comité de lecture des maisons d’édition. Les chances de voir son ouvrage publié sont donc réduites drastiquement, bien que les éditeurs fassent normalement (re)corriger eux-mêmes les textes retenus avant leur publication. Mais l’on parle ici de coquilles ou d’erreurs à la marge, dans la majorité des cas.

Il est donc préférable de présenter aux maisons d’édition des textes déjà relus, qui démontreront une forte envie d’excellence et de considération pour les lecteurs.

Les limites des logiciels de correction et de l’intelligence artificielle

Je ne vais pas entrer dans les détails, car ce sujet a déjà été traité dans mon article « Faire corriger son texte par un logiciel ou par un humain ? ». Je rappelle toutefois que, bien qu’ils aient largement progressé ces dernières années, notamment en matière d’orthographe et de conjugaison, les outils de correction automatique ne peuvent pas remplacer l’œil et les compétences d’un correcteur professionnel.

En effet, si l’intelligence artificielle est capable de traquer les fautes les plus évidentes, elle peine à maîtriser les subtilités de la langue française, les règles d’orthotypographie et encore moins les incohérences éventuelles de votre roman au fil des pages – prénoms des personnages, tutoiement/vouvoiement, chronologie des faits et des actions…

L’expertise d’un correcteur professionnel

Pour compléter mes propos précédents, j’ajouterai que le rôle d’un correcteur professionnel – et humain ! – dépasse largement la seule élimination des fautes d’orthographe ou de grammaire. Grâce à son expérience et à ses connaissances de la langue, le correcteur professionnel va relire de façon complète et méticuleuse les textes qui lui sont confiés, lettre par lettre, mot par mot, phrase par phrase, sans oublier les signes de ponctuations, le bon usage des majuscules, de l’italique…

Par ailleurs, un correcteur ou une correctrice est en mesure d’identifier les faiblesses narratives d’un roman, que l’auteur ne voit plus, trop accaparé par son histoire. Le manque de recul est un biais courant quand on est trop impliqué dans un projet, quel que soit le domaine d’activité.

Un correcteur professionnel n’improvise pas. Il met en place un processus de relecture bien précis jusqu’à aboutir à un texte optimisé. Toutefois, le style de l’écrivain sera toujours respecté. Le correcteur veille surtout à rendre la lecture du manuscrit fluide d’un point de vue linguistique et syntaxique, et propose des modifications pour pallier les incohérences éventuelles de l’histoire. Et même si cela ne constitue en aucun cas une garantie de publication par les maisons d’édition, cela augmentera vos chances de passer l’étape de sélection avec succès.

Pourquoi choisir Corrédac pour la correction de son futur livre ?

Confier la correction de vos textes à Corrédac, c’est faire le choix du professionnalisme et de l’expérience. Mon expertise en langue française est reconnue, et vous bénéficierez d’un accompagnement personnalisé jusqu’à l’obtention d’une œuvre magnifiée.

Mon approche allie rigueur linguistique et sensibilité littéraire, qui me permettent de rendre des textes sans fautes et sans incohérences.

Bien entendu, les conseils précédents sont d’autant plus valables si vous envisagez d’auto-éditer votre manuscrit. Dans cette situation, votre histoire sera publiée directement, sans passer par une maison d’édition. Aussi, pour séduire et fidéliser vos lecteurs, je vous recommande fortement de me confier le travail de relecture et de correction au préalable.

Nicolas m’avait chargé en 2021 de la bêta-lecture et de la correction de son tout premier roman, car il n’arrivait pas à le faire publier. Voici son témoignage :

« Je vous remercie pour votre adaptabilité, votre flexibilité et pour le travail de qualité rendu. Je vous trouve particulièrement à l’écoute, tout en étant force de proposition pour avancer dans un but commun. Au plaisir de collaborer à nouveau ensemble. »

Conclusion : faut-il (faire) corriger son roman avant sa présentation aux éditeurs ?

La publication d’un livre est un projet à la fois passionnant et ambitieux qui requiert de la persévérance et de l’engagement, mais aussi le respect des processus en vigueur dans les différentes maisons d’édition. La qualité du roman tout comme la qualité linguistique doivent faire partie des préoccupations de premier ordre. La relecture par un professionnel de la correction est donc une étape non négligeable vers la reconnaissance et le succès de tout écrivain. Pour augmenter vos chances de figurer parmi les auteurs publiés, apportez à vos manuscrits l’attention qu’ils méritent en m’en confiant la correction.